Intitulée Le Parfum des absents, cette nouvelle exposition prolonge l’exploration initiée par F. Mermin lors de son précédent dialogue avec l’œuvre de Leonor Fini : un monde peuplé de figures hybrides, de créatures silencieuses, de symboles équivoques.
Au cœur du Palais idéal du Facteur Cheval, l’œuvre de Florian Mermin trouve un écho immédiat. Comme une conversation à travers les siècles, ses sculptures viennent hanter les alcôves minérales du monument avec leurs matières charnelles, leurs métamorphoses botaniques et leurs présences animales.
Intitulée Le Parfum des absents, cette nouvelle exposition prolonge l’exploration initiée par l’artiste lors de son précédent dialogue avec l’œuvre de Leonor Fini : un monde peuplé de figures hybrides, de créatures silencieuses, de symboles équivoques.